Si tu ne peux pas regarder vers l'avant parce que ton avenir te semble si obscur
Si tu ne peux pas regarder en arrière parce que ton passé te parait très dur
Tu n'as qu'à lever ton regard vers le haut, vers le ciel
Il y a Celui qui T'aime, Te garde, Te préserve, T'assiste, T'entend, Te voit : Allah
Il ne T'a jamais pris une chose que pour T'en donner d'autres plus chers à ton coeur
Il ne T'a jamais fait pleurer, que pour que tu ris pleinement et de vive joie
Il ne T'a jamais privé que pour que tu savoures à Ses dons et bienfaits qui ne viennent qu'après la privation
Il ne cesse de T'éprouver que parce que tu fais partie de ces bien aimés
Ton Seigneur qui est au dessus des cieux T'aime et quel bonheur pour toi oh serviteur d'Allah !
Source : http://ou-est-allah.over-blog.fr/pages/un-magnifique-et-sublime-rappel--4795441.html
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Être musulman c'est, croire en Allah, ses anges et ses livres
Être musulman c'est, croire en ses prophètes, le jour dernier et le destin.
Être musulman c'est, témoigner qu'il n'y a nulle divinité qu' Allah.
Être musulman c'est, témoigner que Muhammad est son messager.
Être musulman c'est, pratiquer la Sâlât (la prière) 5 fois par jour.
Être musulman c'est, jeuner le mois du ramadan chaque année.
Être musulman c'est, faire la Zakat (l'aumône légale) chaque année.
Être musulman c'est, faire le Hajj (le pélerinage) au moins une fois dans sa
vie.
Être musulman c'est, ne pas tuer une vie injustement, ni se suicider.
Être musulman c'est, respecter ta mère, ton père et toute ta famille.
Être musulman c'est, faire du bien si l'on te fait du mal, sauf si la mort risque de te
toucher.
Être musulman c'est, ne pas se droguer, pas d'alcool et ne pas fumer.
Être musulman c'est, ne pas consommer de porc, ni de sang, ni de bête trouvé
morte.
Être musulman c'est, ne pas toucher de femme sans être marié.
Être musulman c'est, être fidèle et avoir le meilleur des comportements avec la
mariée.
Être musulman c'est, ne pas approcher une femme si t'on frère avait l'intention de
l'épouser.
Être musulman c'est, baisser les regards devant les filles et les garçons, pas de regards avec
désir.
Être musulman c'est, ne pas laisser ses enfants sortir la nuit tombée, leur éviter la
délinquance.
Être musulman c'est, avoir la science, avoir la connaissance donc ne pas rester dans
l'ignorance.
Être musulman c'est, apprendre et transmettre.
Être musulman c'est, se refuser à tout péché.
Être musulman c'est, interdire le mal et ordonner le bien.
Être musulman c'est, ne jamais râler, ni se plaindre, même si tous les malheurs t'ont
atteint.
Être musulman c'est, avoir un bon comportement avec les gentils juifs et gentils
chrétiens.
Être musulman c'est, avoir ce comportement avec tous les humains qui te veulent du
bien.
Être musulman c'est, partager son pain avec son frère qui a faim.
Être musulman c'est, ne pas manger seul, partager son repas.
Être musulman c'est, ne pas laisser son voisin mourrir de faim.
Être musulman c'est, ne jamais jamais refuser d'aider quelqu'un qui en a
besoin.
Être musulman c'est, ne pas gâcher la nourriture, ne pas la jeter sans raisons et ne pas en
abuser.
Être musulman c'est, ne pas critiquer la nourriture, t'aime pas? mange pas et
tais-toi
Être musulman c'est, éviter la polémique même quand on a raison.
Être musulman c'est, maîtriser sa colère, car c'est celui qui y arrive qui a la vrai
force.
Être musulman c'est, parler avec sagesse, ne pas inviter les gens de force.
Être musulman c'est, toujours faire attention à ne pas blesser son frère ou sa
soeur.
Être musulman c'est, s'arranger si l'on se fait offenser, se battre si l'arrangement est
impossible.
Être musulman c'est, secourir tout frère ou soeur en danger, même si l'on ne se connait
pas.
Être musulman c'est, donner les biens que l'on aime le plus, c'est à dire
sacrifier.
Être musulman c'est, être propre, se purifier si l'on est souillé et sale.
Être musulman c'est, faire confiance à Allah dans tous les soucis, patienter et
endurer.
Être musulman c'est, patienter et endurer, n'oublier pas que la douleur expie les
péchés.
Être musulman c'est, ne pas dire de grossièretés.
Être musulman c'est, ne pas provoquer, ne pas lancer les rumeurs.
Être musulman c'est, ne pas parler sur les gens, l'intention n'est peut-être pas mauvaise, mais la
parole blessante.
Être musulman c'est, Faire le bien, éviter le mal, et croire en Allah.
Salamou aleykum
Mash Allah même entre les animaux Allah a mis de la rahma. Loin du sang des corridas cheval et taureau nous offrent ici un spéctacle bien attendrissant. Voici une autre vidéo attendrissante
Commentaire ~ La pomme d’Adam
Voici une anecdote racontée par le célèbre "Prince des Voyageurs" Cheikh Abou AbdAllah Mohamed, mieux connu sous le nom d'Ibn Battouta. Ce récit nous arrive du 12éme siècle.
Après avoir visité Alep, je me rendis à Jabala où est enterré le roi d'Afghanistan, Ibrahim fils d'Adam. Adam était d'origine tout à fait modeste et il avait eu la réputation d'être un homme chaste et dévot. Je vais vous raconter l'histoire de la pomme d'Adam. Ce saint homme vivait à Boukhara. Un jour de fortes chaleurs, il s'était arrêté à proximité d'un verger pour faire ses ablutions dans l'eau d'un des innombrables canaux qui ruissellent dans cette cité. En se penchant sur l'eau du canal, il aperçut une pomme vermeille qui flottait, entraînée par le courant. Comme il avait faim, il saisit le fruit et le croqua. Au moment où il achevait ce repas frugal, il entendit une petite voix intérieure qui lui soufflait: "Adam! Cette pomme que tu viens de manger ne t'appartenait pas! Comment as-tu osé t'accaparer ainsi du bien d'autrui? Tu n'en as pas le droit! Tu as commis une faute grave, mais il te reste une issue: obtenir de son propriétaire légitime qu'il te pardonne." Ainsi parla la voix du repentir. Adam regarda autour de lui et se dit que le fruit devait probablement provenir du verger tout proche d'où s'écoulait l'eau du canal ayant entraîné la pomme. Il s'avança jusqu'à la porte du jardin et frappa avec le plat de sa main. Une jeune esclave vint lui ouvrir. "Appelle le maître de ce lieu", demanda Adam.
"- Ce jardin appartient à une femme", répondit la jeune esclave. "
- Va la prier de me recevoir" dit Adam.
Lorsqu'il fut en présence de la propriétaire, Adam avoua sa faute et supplia qu'elle lui accorde son pardon.
"C'est que... je ne possède que la moitié de ce verger, lui dit la femme sur un ton contrarié; l'autre partie est la propriété du sultan." Celui-ci se trouvait à Balkh, à dix jours de marche de Boukhara. "En ce qui me concerne ajouta-elle, je t'accorde l'absolution pour la partie de la pomme qui me revient. Pour l'autre moitié, il te faudra en demander pardon au roi lui-même. Va donc à Balkh" Adam la remercia vivement et prit résolument le chemin de Balkh. Parvenu au terme de son voyage, il réussit à entrer en contact avec le monarque après de laborieuses démarches. Adam fit de nouveau le récit de son infraction et il conclut en implorant le pardon royal. Le sultan demeura songeur un instant puis il ordonna à Adam de se présenter le lendemain à son palais. Le souverain avait une fille à marier et il commençait à désespérer de lui trouver un jour un époux. Non qu'elle fût laide, bien au contraire, la princesse était d'une beauté à couper le souffle. Le roi ne comptait plus le nombre impressionnant de seigneurs venus demander la main de sa fille, mais celle-ci avait refusé tous ces prétendants parce qu'aucun n'était à ses yeux suffisamment vertueux pour la mériter. Elle rêvait de rencontrer un homme d'une pureté irréprochable, quelqu'un qui donnerait les preuves de sa parfaite probité. En attendant l'apparition de l'élu de son coeur, la belle princesse se consacrait exclusivement à la prière et à la méditation religieuse. De retour dans son palais, le roi se rendit en toute hâte auprès de sa fille et lui conta l'aventure d'Adam et de la demi-pomme.
"Te rends-tu seulement compte: cet homme a fait dix jours de marche pour obtenir mon pardon et il s'est donné toute cette peine à cause, non pas d'une pomme, mais d'une moitié de pomme! Crois-moi, ma fille, tu tiens là l'homme de tes rêves!" La princesse acquiesça et cette nuit-là, elle ne parvint pas à trouver le sommeil, attendant impatiemment que le jour se lève pour voir de ses propres yeux ce parangon de toutes les vertus (...) Ce fut un grand mariage qu’on célébra dans l’ensemble du royaume durant sept jours entiers.
Extrait de "Ibn Battouta Prince des voyageurs"
Auteur: Lotfi Akalay
Si vous pardonnez à
quelqu'un ses péchés ceux-ci s'évanouissent sur le champ. Par contre si vous ne les pardonnez pas, qu'allez-vous en faire ?
Un professeur d'Institut qui devait enseigner sur le thème du pardon, demanda à chacun de ses étudiants d'apporter un sac de pommes de terre lors du prochain cours.
Il leur demanda ensuite d'inscrire sur une pomme de terre le nom de chaque personne à laquelle ils refusaient de pardonner, et à côté, la date. Puis ils devaient porter sur leur dos, partout où
ils iraient, pendant le mois suivant, le sac de pommes de terre. Ce fardeau leur parut vite insupportable.
Ils se rendirent alors compte du poids spirituel de rancoeur qu'ils portaient tous en eux. Ils comprirent aussi le degré d'énergie qu'ils gaspillaient en portant leur fardeau et le danger qu'ils
couraient de laisser ce fardeau au mauvais endroit. Puis, à mesure que les pommes de terre commençaient à pourrir, chaque étudiant comprit qu'il devait se débarrasser du sac au plus vite.
Le pardon n'est pas seulement un don que vous faites aux autres, c'est aussi et surtout un cadeau que vous vous faites à vous-même, car en refusant de pardonner, un boulet s'attache à votre coeur
et le bonheur et la bénédiction s'enfuient loin de vous. Qu'allez-vous donc faire du fardeau de péchés que vous refusez de pardonner ?
Aimeriez-vous vraiment qu'Allah vous pardonne avec le même enthousiasme que vous mettez à pardonner les péchés des autres
Un petit garçon demande
à sa mère: " Pourquoi pleures-tu? "
"Parce que je suis une femme " lui répond-elle.
"Je ne comprends pas " dit-il.
Sa mère l'étreint et lui dit " Et jamais tu ne réussiras. "
Plus tard le petit garçon demanda à son père : "Pourquoi maman pleure-t-elle sans raison ? "
"Toutes les femmes pleurent sans raison" fut tout ce que son père pu lui dire.
Le petit garçon grandit et devint un homme, toujours se demandant pourquoi les femmes pleurent aussi facilement. Finalement il demanda à un sage! Le sage lui fit signe: "Quand Dieu a fait la
femme, elle devait être spéciale. Ses épaules devaient être assez fortes pour porter le poids du monde; mais quand même assez douces pour être confortables ".
"Il lui a donné une force intérieure pour endurer les naissances et les rejets qui viennent souvent de ses enfants."
"Il lui a donné la force pour lui permettre de continuer quand tout le monde abandonne et prendre soin de sa famille en dépit de la maladie et de la fatigue, sans se plaindre."
"Il lui a donné la sensibilité pour aimer ses enfants dans n'importe quelle
circonstance quand ces derniers l'ont blessée très durement."
"Il lui a donné la force de supporter son mari dans ses défauts. "
"Il lui a donné la sagesse de savoir qu'un bon époux ne blesse jamais sa femme, mais que quelques fois il teste sa force et sa détermination à demeurer à ses côtés sans faiblir."
"Et finalement Il lui a donné une larme à verser. Cela est exclusivement à son usage personnel quand elle en ressent le besoin. "
"Tu vois mon fils, la beauté d'une femme n'est pas dans les vêtements qu'elle porte, ni dans son visage, ou dans la façon de se coiffer les cheveux. La beauté d'une femme réside dans ses
yeux.
C'est la porte d'entrée de son coeur, la place où l'amour réside. Et c'est souvent par ses larmes que tu vois passer son coeur."